Cela est donc arrivé au détour d'un chemin, et je crois que c'est important puisque je ne suis pas la première victime d'Eboracynthe en ces circonstances (elle agit beaucoup lors de circonstances et c'est cela qui lui confère un caractère vraiment vraiment particulier, carnassier) et nul ne peut se dire l'abri. Nul ne peut, Ô NON.
Cela était le pavé d'où elle devait pousser et veiller mais rien ne pouvait me le faire présager, autant ma connaissance théorique (intacte lorsque j'étudie les cartes mais qui se dégrade en pratique, d'autant plus que je connais par cœur chaque aspérités des pavés et jusqu'à leurs bonnes intentions, cela va jusque là) des lieux que //... LOG//LOG//LOG// (c'est la sonnerie de la lampe...oubliez -moi...) LOG//LOG//LOG//
"Engourdis crevard je foule et fouine statique dans tes repères qui, ne, pourront t'être que des catapultes pierre PONCE : j'aime prendre la TANGENTE du printemps et produire des chemins entre les immeubles; c'est la marche principe élan anti-trajectoire dans la sente où nous porterons les naïfs espoirs encore, étourdis, je, n,'y arriverais pas et je surgis donc toi au antipodes. Ça arrive aux soirs métalliques et c'est envie ancrage parfait dans toutes les jointures distendues de se blesser les PIEDS de trop d'espace, sitôt absous maitrisé et alors gronde craque devient chef de l'administration du rythme-Protée. Mon ami ma raison d'avaler, d'attendre, de, veiller aux vagues des codes au blocs de couleurs précipite le chemin et la carte des vallons semble maculée de RET. Retenez toutes vos substances et elles produiront des années d'Histoire intérieures, des folklores mineurs assoupis rendus fous par la FORCE des chevilles crevardes crevards écoute parcours mon, dos, qui, n'est, qu'un col caduque; à l'orée des ligaments dorsaux vos amis sont aussi sur la VOIE tu retrouves et tu étais déjà là aux temps des paradoxes.
Un feu et des TORCHES de mes acmés ou de mes cubitus : sur le chemin entre les immeubles les roseaux donnent et tirent où la journée vous rends à l'état d'hommes urbains et sous pierre rythme-Protée la sentence d'avoir la PROTEINE si trompeuse dit-elle affectueusement.
mercredi 28 mai 2008
mardi 27 mai 2008
vendredi 23 mai 2008
« Gain de la peau allant s’enflant dans le surgissement jaune; sur le relief »
Eboracynthe IV
C'était son doigt gauche, arrière, arrière (je les assuraient si peu quand elle me pris, tendu que j'étais par mon cube de gris : c'est pour cela) grand-mère qui se sclérose maintenant.
C'était le bon vieux temps.
J'ai 18 MINUTES aujourd'hui (c'est le temps programmé de sa rotation calorifère durant laquelle elle me laisse parler un peu) pour vous dire comment cela est arrivé.
Ce fut affreux et détestable et c'est pour cela que cela arriva. Je n'ai pas trop la PLACE pour cela mais j'en tremble encore (Elle m'a appris à trembler avec cela : les plaques à la DERIVE. C'est un principe de torture FORT ludique pour elle d'ailleurs étant donné que je végète dans ces obtus ligaments. Mais je me répète incorrigiblement car vous devez savoir qu'elle est principe de torture en soi.) et je n'en reviens pas encore. Et pour en revenir, croyez, moi, c'est (Cela.), n'est, pas, facile. Par exemple je n'en reviens pas assez pour m'empêcher d'encore user quasi-ment gratuitement des MAJUSCULES qu'elle affectionne tant. C'est qu'elle m'a digéré durablement ce jour-là sans prévenir au détour d'un PAVE (Elle n'aime pas se compliquer la vie et pré-venir au dé-tour c'est beaucoup trop pour elle, mais je me répète désolé, vous devez bien la CONNAITRE c'est vous quand vous vous ne vous reconnaissez pas.) comme cela sans plus de sommation qu'un affreux quoique discret borborygme : B (v)rrigueee comme cela oui, vous auriez dû écouter cela et vous auriez compris qu'il n'y avait presque rien à entendre si ce n'est en déduire plus tard (un PROCESSUS cérébral qu'elle abhorre) comme cela : "sans plus de sommation"...
Elle m'ingéra donc par les pieds brusquement alors que j'allais acheté du tabac brun.
Ce fut affreux et cela parait être la seule explication : "affreux"
Je suis resté deux mois en rétention (il y a l'heure tapissée dans tout son corps) dans les LIGAMENTS croisés.
J'ai pu entendre beaucoup de résonances et puis cela a changé et je suis maintenant sur la VOIE.
Ce fut affreux et détestable et c'est pour cela que cela arriva. Je n'ai pas trop la PLACE pour cela mais j'en tremble encore (Elle m'a appris à trembler avec cela : les plaques à la DERIVE. C'est un principe de torture FORT ludique pour elle d'ailleurs étant donné que je végète dans ces obtus ligaments. Mais je me répète incorrigiblement car vous devez savoir qu'elle est principe de torture en soi.) et je n'en reviens pas encore. Et pour en revenir, croyez, moi, c'est (Cela.), n'est, pas, facile. Par exemple je n'en reviens pas assez pour m'empêcher d'encore user quasi-ment gratuitement des MAJUSCULES qu'elle affectionne tant. C'est qu'elle m'a digéré durablement ce jour-là sans prévenir au détour d'un PAVE (Elle n'aime pas se compliquer la vie et pré-venir au dé-tour c'est beaucoup trop pour elle, mais je me répète désolé, vous devez bien la CONNAITRE c'est vous quand vous vous ne vous reconnaissez pas.) comme cela sans plus de sommation qu'un affreux quoique discret borborygme : B (v)rrigueee comme cela oui, vous auriez dû écouter cela et vous auriez compris qu'il n'y avait presque rien à entendre si ce n'est en déduire plus tard (un PROCESSUS cérébral qu'elle abhorre) comme cela : "sans plus de sommation"...
Elle m'ingéra donc par les pieds brusquement alors que j'allais acheté du tabac brun.
Ce fut affreux et cela parait être la seule explication : "affreux"
Je suis resté deux mois en rétention (il y a l'heure tapissée dans tout son corps) dans les LIGAMENTS croisés.
J'ai pu entendre beaucoup de résonances et puis cela a changé et je suis maintenant sur la VOIE.
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