vendredi 16 mai 2008


A L’AIR GÎT
Le surplus du vent discrimine les feuilles des
ANTHÈRES exhument, enterrent l’intérieur du nez,en, est, souffrant trop de particules insaisissables sur la place exempt à mes YEUX sédimenteux soucieux, déliés trop, de, ce, qui agit ne se voit en monticules de réel en LIEU et place des bourrasques coudent les PLATANES pour la circulation vers le, château, d’eau. L’asphalte s’imprime des roues du landau, ce banc d’où le vent, la GLOTTE, INNERVE la chrysalide traversée, où, je, m’émousse, avec le mortier des SONS on voudrait percer ses CELLULES ses lopins de CHAIR qui rendront l’eau dans l’IRRITEM qui forment de mineurs BUBONS où l’étamine passe à sac l’inutile muqueuse et viole l’ ARIDE le gonfle, cette GERMINATION ensuite déflagrante. Le VENT passe la frontière de langue, sa limite et infiltre si bien qu’à VIF laissé en crainte de la rupture de la VIGIE je ne peux poser, GENOUX, qu’aux, PIEDS des bris des FLORAISONS. la réaction détonne alors QUE l’irritation sème l ‘ESPACE de ruts, INFIMES pendant que L’ŒIL suinte comme un contre-bourgeon et, que, PRURIT fait la physique du TOCSIN érubescence c’est dire la VORGE contre la VOIX, CONTRE, le, sortilège, la, CAGOULE des ROUGEURS aux bords JAIS c’est DIRE les FOINS barbelés comme d’insécables, IRRUPTIONS, d’ÊTRE,
dans l’
EMBLAVURE.
D É M A N G E A I S O N

Et dispersion des cendres.

Ah les jeux de mots!Ô la rixe des nixes

Mais eboracynthe est là de plein pied; seule héritière de la granularité ?

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