mercredi 28 mai 2008

Cela est donc arrivé au détour d'un chemin, et je crois que c'est important puisque je ne suis pas la première victime d'Eboracynthe en ces circonstances (elle agit beaucoup lors de circonstances et c'est cela qui lui confère un caractère vraiment vraiment particulier, carnassier) et nul ne peut se dire l'abri. Nul ne peut, Ô NON.
Cela était le pavé d'où elle devait pousser et veiller mais rien ne pouvait me le faire présager, autant ma connaissance théorique (intacte lorsque j'étudie les cartes mais qui se dégrade en pratique, d'autant plus que je connais par cœur chaque aspérités des pavés et jusqu'à leurs bonnes intentions, cela va jusque là) des lieux que //... LOG//LOG//LOG// (c'est la sonnerie de la lampe...oubliez -moi...) LOG//LOG//LOG//
"Engourdis crevard je foule et fouine statique dans tes repères qui, ne, pourront t'être que des catapultes pierre PONCE : j'aime prendre la TANGENTE du printemps et produire des chemins entre les immeubles; c'est la marche principe élan anti-trajectoire dans la sente où nous porterons les naïfs espoirs encore, étourdis, je, n,'y arriverais pas et je surgis donc toi au antipodes. Ça arrive aux soirs métalliques et c'est envie ancrage parfait dans toutes les jointures distendues de se blesser les PIEDS de trop d'espace, sitôt absous maitrisé et alors gronde craque devient chef de l'administration du rythme-Protée. Mon ami ma raison d'avaler, d'attendre, de, veiller aux vagues des codes au blocs de couleurs précipite le chemin et la carte des vallons semble maculée de RET. Retenez toutes vos substances et elles produiront des années d'Histoire intérieures, des folklores mineurs assoupis rendus fous par la FORCE des chevilles crevardes crevards écoute parcours mon, dos, qui, n'est, qu'un col caduque; à l'orée des ligaments dorsaux vos amis sont aussi sur la VOIE tu retrouves et tu étais déjà là aux temps des paradoxes.
Un feu et des TORCHES de mes acmés ou de mes cubitus : sur le chemin entre les immeubles les roseaux donnent et tirent où la journée vous rends à l'état d'hommes urbains et sous pierre rythme-Protée la sentence d'avoir la PROTEINE si trompeuse dit-elle affectueusement.

mardi 27 mai 2008

A moi les thésaurus abscons de vos yeux bistres dit -elle en ruant dans le tas dos de l'ethnologue structuraliste.
A moi l'épiphanie grasse à fleur de lac dit Eboracynhte en fourrageant dans le ventre béant et incarnat du cadavre du philosophe.

vendredi 23 mai 2008

« Gain de la peau allant s’enflant dans le surgissement jaune; sur le relief »
Eboracynthe IV

C'était son doigt gauche, arrière, arrière (je les assuraient si peu quand elle me pris, tendu que j'étais par mon cube de gris : c'est pour cela) grand-mère qui se sclérose maintenant.

C'était le bon vieux temps.

Eboracynthe, reste pour diriger la fonderie.
Elle est un magma sous-développé.
J'ai 18 MINUTES aujourd'hui (c'est le temps programmé de sa rotation calorifère durant laquelle elle me laisse parler un peu) pour vous dire comment cela est arrivé.
Ce fut affreux et détestable et c'est pour cela que cela arriva. Je n'ai pas trop la PLACE pour cela mais j'en tremble encore (Elle m'a appris à trembler avec cela : les plaques à la DERIVE. C'est un principe de torture FORT ludique pour elle d'ailleurs étant donné que je végète dans ces obtus ligaments. Mais je me répète incorrigiblement car vous devez savoir qu'elle est principe de torture en soi.) et je n'en reviens pas encore. Et pour en revenir, croyez, moi, c'est (Cela.), n'est, pas, facile. Par exemple je n'en reviens pas assez pour m'empêcher d'encore user quasi-ment gratuitement des MAJUSCULES qu'elle affectionne tant. C'est qu'elle m'a digéré durablement ce jour-là sans prévenir au détour d'un PAVE (Elle n'aime pas se compliquer la vie et pré-venir au dé-tour c'est beaucoup trop pour elle, mais je me répète désolé, vous devez bien la CONNAITRE c'est vous quand vous vous ne vous reconnaissez pas.) comme cela sans plus de sommation qu'un affreux quoique discret borborygme : B (v)rrigueee comme cela oui, vous auriez dû écouter cela et vous auriez compris qu'il n'y avait presque rien à entendre si ce n'est en déduire plus tard (un PROCESSUS cérébral qu'elle abhorre) comme cela : "sans plus de sommation"...
Elle m'ingéra donc par les pieds brusquement alors que j'allais acheté du tabac brun.
Ce fut affreux et cela parait être la seule explication : "affreux"
Je suis resté deux mois en rétention (il y a l'heure tapissée dans tout son corps) dans les LIGAMENTS croisés.
J'ai pu entendre beaucoup de résonances et puis cela a changé et je suis maintenant sur la VOIE.

mercredi 21 mai 2008

Ah oui j'oublais : "Je suis la mère des Césures" dit-elle harmonieusement
Elle est tout contre ce qui bute, mute.
"Je suis un principe de collision"
Eboracynhte nous dit que le Quelconque bégaie

mardi 20 mai 2008

Ronces, et, entre autres, il y a RAYURES. Berges anonymes. Sons si ânonnés et concaves. Sont si rases et par le bois. Interposés. Tellement STABLES et affûtées, qu’elles, en, charrient, de l’épaisseur. Ronces. Bloc. A deux ils mentent fraichement. Comme la négociante. De ronces. D’espoir calibré essentiellement de part et d'autre comme l'on peut le lire : chemin, chien, pur déchet. Erreur avec l’OPTION : sont partout, vivant, à, l’air jusque dans la zone franche réajustée; entre les SEMAILLES ronces. Agrégat. Par le commerce des vannes et ayant fini, je n'atteindrai jamais le sentier comme il est indiqué sur le carte du VALLON inscrit là lisse et en partant du socle, les, GRAVATS, stance. Que le bloc : retrait bref car nous n'avons rien à voir dans cette histoire votive. De par l’immeuble nous nous retrouvons assoupis à l’extrême puisque stagna indolent le barrage végétal. Entrelacs courant. COURSE étreignant. Il faudrais que je, me, rapproprie les rivets comme une vague quelconque arrêtée. Les VANNES prêtes pourpres. Ronces. Annexez les reflets en toute urgence puis besoin ensuite plus avant : On coupera les roseaux, plus tard, après tout MINCE (j'ai beaucoup maigris dans la copropriété des ligaments d'Eboracynthe) incliné envoyé vers l’escalier sur mortier reposant, irrégulier. Suspend, rupture, pentue, SUTURE. Il et elle. Envers les visages bien entendu les vannes enfin humainement traversées. Sous nos PLEVRES, tressautèrent alors le bruit d’un car, et je trancherais, issu, la mobilité des cascades sur les semis. Au dessus

La négociante de RONCES
rougeoyante.


lundi 19 mai 2008

Eboracynthe ( de la 23 ème césure) : le paysage racle son intérieur.

L’écart chauve
L’embryon d’y aller.

vendredi 16 mai 2008


A L’AIR GÎT
Le surplus du vent discrimine les feuilles des
ANTHÈRES exhument, enterrent l’intérieur du nez,en, est, souffrant trop de particules insaisissables sur la place exempt à mes YEUX sédimenteux soucieux, déliés trop, de, ce, qui agit ne se voit en monticules de réel en LIEU et place des bourrasques coudent les PLATANES pour la circulation vers le, château, d’eau. L’asphalte s’imprime des roues du landau, ce banc d’où le vent, la GLOTTE, INNERVE la chrysalide traversée, où, je, m’émousse, avec le mortier des SONS on voudrait percer ses CELLULES ses lopins de CHAIR qui rendront l’eau dans l’IRRITEM qui forment de mineurs BUBONS où l’étamine passe à sac l’inutile muqueuse et viole l’ ARIDE le gonfle, cette GERMINATION ensuite déflagrante. Le VENT passe la frontière de langue, sa limite et infiltre si bien qu’à VIF laissé en crainte de la rupture de la VIGIE je ne peux poser, GENOUX, qu’aux, PIEDS des bris des FLORAISONS. la réaction détonne alors QUE l’irritation sème l ‘ESPACE de ruts, INFIMES pendant que L’ŒIL suinte comme un contre-bourgeon et, que, PRURIT fait la physique du TOCSIN érubescence c’est dire la VORGE contre la VOIX, CONTRE, le, sortilège, la, CAGOULE des ROUGEURS aux bords JAIS c’est DIRE les FOINS barbelés comme d’insécables, IRRUPTIONS, d’ÊTRE,
dans l’
EMBLAVURE.
D É M A N G E A I S O N

Et dispersion des cendres.

Ah les jeux de mots!Ô la rixe des nixes

Mais eboracynthe est là de plein pied; seule héritière de la granularité ?

mardi 13 mai 2008

Eboracynthe tombe sous le sens.

vendredi 9 mai 2008

La course de fond du visage.

mercredi 7 mai 2008

[…] que passer au tamis, que soutenu par une moitié de pierre , un chemin blanc ; face colline, des flambeaux que l’on allume avec des chemises saturées d’essence. Au delà, dans une LIMITE aigre dans un reste de débordement l’horizon dans le galbe. Use un FLANC de montagne, un passage comme il n’y en a qu’entre les vergers, le calcaire ; voila étend le pas, voila comme une seule fois c’est peut-être encore amorcé encore rouge encore coupant, GRANULEUX. Je ne suis pas même un copeau. Je regarde la parole d’un nœud de racine sortie je, mange, ma, respiration, et ça n’a pas pu être plus clair, ça n’a pas pu se trouver ailleurs. Continue et regarde la récapitulation de mes extrémités, ces extrémités baladés par la sentence du vent ces, bouts, de, flammes, tués, dans, l’œuf, arrêtés avant même qu’ils ne se mouchent. Je pourrait me moucher face à la montagne je pourrait peut-être compter le temps qu’il me faudrait pour trouver de, plus, grosses, chaussures, de, plus, gros lacets de plus grosses CHEVILLES, avant que le jour.

Toute la machinerie du ciel dont personne n’est coupable, qui n ‘a rien à dire, dont, dés lors, tout le monde est coupable…

Ajoutons un oiseau qui se retranche en passant d’un vol discipliné.

Mais ce n’est qu’une seule fois alors je ne pense plus à mes pieds trop petits, je pense au calcaire je peux le frotter comme on m’a appris à frotter la cuisine. Le, CALCAIRE, je l’ai, dans la, GORGE, j’ai une glotte de pierre, fracturée, j’ai, un, gout, de blanc, de dépôt sans origine. Je touche mon cou comme on me l’a appris à le toucher et c’est juste la peau plus le jour. Aujourd’hui à gauche les amandiers, en bas le calcaire en haut la montagne et les nœuds de racine comme ils ont appris à être noués. Il faut que ça tienne. Il faut que tu disse de tenir ferme mais je ne PEUX plus…

Lorsqu’un vieillard pose sa main sur une bogue jaunie et crispe, sa, sueur, et, exulte, alors seulement le paysage vrombi comme muni d’ELYTRE exponentiellement immédiates. Le mont Bugarach avec à ses pieds l’atrophié village les espadrilles du vieillard que, l’on, jettera, au, feu et toutefois que nul ne brûlera : dans cette cour toujours la même une fillette crasseuse mord, d’une, unique, et, dextre, dent l’habitant des L I E U X

Au, dessus, de la chambre divisée après le carrelage historié, par, une, couleur, au delà du fauteuil vultueux du lustre et de la guitare rompue, le, toit, du, toit, du, BLOC, de la ville tallée un horizon comme le reste versatile d’un débordement, envers, l’obscurité, concetti, concetti, des bâtiments au sein des BATTEMENTS, l’excroissance se, calibre, à, l’aune, des, concetti, concetti, grand, grand bourdonnement avec une fulmination derrière, une SCANSION, part, en, perd. Il faut que ça tienne, que l’on commence face colline. Tu n’as d’ailleurs jamais tenu. Ne fait que glisser, me métamorphoser mais ça ne tiens pas j’implose : je, ris, des, erreurs, ici, signifiées : j’implose en face de la montagne avant que de m’y être moucher devant : j’entame la destruction l’INAUGURATION mais comme on me l’a appris dans les cartes des vallons. On voit des dents contre, des, capsules, de, couleur la chaise STATIQUE sur un dallage renforcé et à mi-chemin le déplacement d’un drap posé sur un bois gris. J’ai dit : « Je n’ai pas su dire si c’était du sang, en tout cas c’était rouge, le ROUGE ».


Raidie la langue contre l’ampoule.


Frais l’espace qui fait sourdre, s’harmoniser puis imploser les cellules du dos…

Il y a des yeux verrons que ne supporte plus de visage, qu’aucun trait n’absout. Ploutocrate, le bus scolaire distille des enfants les fesses bombées de merde qu’enrobe une couche de cobalt sémantique, qu’aucune face ne rend VIABLE mais qu’un micro-climat pousse à l’autarcie. Quand, mo,i et, les, rangées, d’amandiers, rectiligne, comme des… Je touche ma cheville et ce n’est qu’elle plus le jour qui décline. On m’avait bien appris à saisir les éponges à les saturés de produit opaques puis à frotter afin qu’il ne restât plus de calcaire, plus de trace, plus, de, signature, de RESTE, de, scories rudes au toucher, légères…à l’intérieur la cuisson de certaines herbes ramassées par des enfants sourds qui ont un coulis transparent sur le front. Quoi ? Cela vient d’un barrage fendu, plus haut, sous les cheveux.

[…]


la fuite est boiteuse avec tous ses élans, toutes ses lucarnes aux yeux fissurés, elle l’est tant et si bien qu’il en est restreint, comme d’usage par, sa, L O C O M O T I O N, musculeuse, et, déboitée. Je quitte les flancs et tu continues à branler les amandiers, à te couler dans la récolte sèche jointe à ta langue par une phosphorescence larvée. Pourtant, devant l’arpent est calme. J’ai sur les épaules un rythme d’une qualité instable lorsque je, déploie, la, fameuse, carte, du V A L L O N : je vois des cibles déterminées des nerfs de représentation celluleuse alors mon cou se met à ployer vers le vide à tordre du coté des failles dans le calcaire plus bas dans, les, pinces, des, cimes plus haut. Nos os soufflent la braise oblique. Incline la tête comme sous la question des sphinges, fais béer ta bouche et attend ce reste veillant sur le T R O P- P L E I N du ciel, gris bleu. Quoique par réverbération il en appellerait plutôt à l’oculus de la nuit. On peut y voir une translation…

Pendant qu’il y a encore la latéralité mais encore sans passé. C’est encore un et seul. Alors la L A T É R A L I T É comme une éclipse qui pèse une once plus que rien … ensuite une barre de F R A C T I O N indépendante. Pourrait-on voir l’onde de la courbe, du chef des galbes. Si oui, alors l’oaristys de la boule sur le bloc le ressac qui ne découvre que lui même le radar ne balayant que lui même. Ça, fore, là, ça, éboule, et encore mais un encore avec passé, avec sa S O U T E de reste encore. Il faudrait absolument crever pour voir la nervure alors que rien ne suppose. Je vois venir la gesticulation des indices terrestres à la T E X T U R E et qualité potentielles qui déborde les va et viennent. En parallèle c’est un balcon qui progresse. L’éclipse se plie. De fait, je vais devoir plier tordre et enfin maroufler l’indistinction du dicton. Il y eut encore. Ni horizontal, ni vertical, ça traverse encore. Je, suis, sur, une, étendue, un cadran, qui dicte à ce point sans socle qu’il n’est qu’encore socle, encore la latéralité avec O P T I O N.